Ceux qui manquent de courage ont toujours une philosophie pour le justifier. Albert Camus
Nous venons tous au monde avec une chance inouïe.
Nous avons tant de ressources personnelles que nous pouvons pratiquement tout faire.
Mais profitons-nous de toutes ces possibilités?
Mesurons-nous vraiment l’ampleur de tout ce que nous pouvons obtenir de la vie?
Bon. Je dois l’avouer, cette introduction pèche par excès d’enthousiasme.
Nous ne sommes pas de la famille de Superman, et certains l’ont plus facile que d’autres.
Ce que je veux dire, c’est que peu importe nos malchances et nos limitations, nous possédons tous plus de ressources que nous ne le pensons souvent.
Mon objectif avec cet article est donc de vous aider à puiser dans ces ressources que vous ne connaissez peut-être pas encore en vous-mêmes.
Personnellement, quand j’ai commencé à le faire au tournant des années 2000, ma vie a commencé à changer vraiment pour le mieux.
Je vous souhaite donc de faire de même, si ce n’est pas encore le cas!
Apprivoisez votre vie pour goûter à la réalisation de soi
« Nous n’avons qu’une vie à vivre ».
Cette phrase est tellement usée qu’elle a plein de trous…
Mais malgré cette usure et ces trous, elle est VRAIE!
Pourquoi alors nous contenter de la banalité et des habitudes?
Pourquoi tolérer de vivre à demi, noyé par le travail, ou de vivre par procuration en rêvant d’être à la place des acteurs qu’on voit à la télé.
Votre vie peut se comparer à une œuvre d’art fantastique.
Si vous n’y travaillez pas, elle ne pourra pas s’améliorer d’elle-même.
Dans la plupart des domaines, le plagiat n’est pas bien.
Copier les bonnes idées des autres pour notre propre profit peut aller jusqu’à nous envoyer en prison.
Par contre, il est certains domaines où le plagiat est le bienvenu.
Par exemple, les personnes qui se réalisent le plus font certaines choses que les autres ne font pas.
Pourquoi ne pas copier tout bêtement ce que font les gens heureux et qui se réalisent?
Je doute qu’ils nous traînent en cour pour ça…
Alors voici 5 choses que celles et ceux qui se réalisent font.
De bons exemples à copier, et je vous recommande de vous faire prendre à ce plagiat!
1. Concentrez-vous sur ce que vous désirez et sur les solutions au lieu de ne penser qu’aux problèmes et à ce que vous ne voulez pas
Nous connaissons tous des personnes qui vont toujours souligner les problèmes, quoi que nous entreprenions.
Les mères sont souvent bonnes là-dedans.
Elles le font habituellement par amour, pour nous prémunir de l’échec et de méchantes souffrances.
Et la pire personne à nous tirer vers le bas est souvent nous-mêmes.
Mais tout ce que ces gentilles-personnes-qui-ne-veulent-pas-qu’on-souffre-et-qui-nous-tirent-vers-le-bas ignorent, c’est que l’action et l’échec sont le creuset de la réussite.
Personnellement, je préfère faire quelque chose, me casser la gueule mais, avec le temps, réussir quelque chose à quoi je tiens.
Sinon, la seule autre option est de ne rien faire, d’attendre et d’espérer que ma vie devienne idéale toute seule comme une grande, sans que je ne fasse rien.
C’EST DE LA PENSÉE MAGIQUE.
Si vous choisissez cette option, la dépression vous rejoindra beaucoup plus vite que la réussite…
Les personnes qui façonnent leur vie savent ce qu’elles désirent.
Elles possèdent une vision, des objectifs et passent à l’action.
Elles savent que les problèmes (et les échecs) sont temporaires et, pour cette raison, ne restent jamais bloquées longtemps.
Elles trouvent toujours de nouvelles solutions.
Les personnes qui ne se réalisent pas ne pensent qu’à éviter les souffrances qu’elles ont déjà eues ou qu’elles pourraient avoir.
Elles concentrent ainsi leur énergie à éviter tout ce qu’elles ne veulent pas.
Résultat ?
Elles ne prennent pas de risques et n’obtiennent pas grand-chose…
2. Construisez votre vie au lieu de la subir
Avec l’inaction vient sa meilleure amie, la victimisation.
Car il faut bien expliquer pourquoi nous ne faisons rien et que la vie est donc tellement très très trop cruelle.
C’est de la faute à l’univers entier si nous ne faisons rien…
La victimisation est souvent très robuste.
Certaines personnes vont jusqu’à reconnaître que c’est de leur faute si elles sont malheureuses (au contraire de celles qui invoquent des raisons extérieures sur lesquelles elles n’ont pas de contrôle, comme la société) mais n’en profitent pas pour faire quelque chose, même si elles ont du contrôle sur elles-mêmes.
Les gens préfèrent souffrir leur vie que de faire quelque chose pour l’améliorer et risquer de souffrir (en travaillant, en prenant des initiatives et en risquant d’échouer).
Certains tolèrent même de TRÈS grandes souffrances avant de commencer à changer les choses.
C’est totalement illogique !
Imaginez, on me donne deux choix:
- Tu es sûr de souffrir toute ta vie (en n’aimant pas ta vie, en ayant honte de toi qui ne fait rien, en n’obtenant rien, en ne cultivant aucune fierté, aucune estime de soi, aucune confiance, en étant déprimé, etc.)
- Tu risques de souffrir et faisant des choses et en risquant d’échouer, mais en faisant ça, tu as de bonnes chances d’être super heureux (en obtenant ce que tu désires, en construisant ta confiance, ton estime et en étant fier de toi, en étant rempli d’énergie et de motivation, etc.)
Big Deal, je choisis le #1 ! Aussi absurde que paraisse cette décision, c’est pourtant celle que prennent un très grand nombre de personnes.
De mon côté, je crois avoir été chanceux.
Il semble que j’aime moins souffrir que la moyenne des gens.
J’ai donc toujours choisi la seconde option…
La réalisation de soi emprunte une autre voie.
Les personnes qui se réalisent prennent la responsabilité des résultats qu’elles obtiennent.
Si elles ne sont pas satisfaites, elles cherchent en elles-mêmes les manières d’améliorer les choses.
Elles comptent sur elles-mêmes et n’attendent pas que les autres, les événements, le gouvernement ou la loterie règle leurs problèmes…
Au contraire, les personnes insatisfaites de leur vie choisissent souvent d’ignorer tout ce qu’elles peuvent changer.
Elles rejettent la faute sur ce qu’elles ne contrôlent pas et n’exercent pas leur pouvoir sur leur existence.
Pire, elles jouent à la victime, ce qui les rend dépendantes de l’attention et de la pitié des autres.
Autrement dit, elles dépensent beaucoup d’énergie mais au mauvais endroit, là où elles sont sûres d’être malheureuses.
Petite parenthèse éditoriale: Certains médias (journaux, télé, etc.) se spécialisent dans la production de contenus douteux qui visent à frustrer davantage les personnes frustrées (celles qui entrent dans la catégories des victimes). Elles produisent de pseudo-reportages sensationnalistes sur des sujets peu importants, tout cela pour susciter la frustration et… faire de l’argent en soulevant un tollé. C’est exactement ce que font les démagogues.
3. Pensez à ce que vous désirez obtenir de la vie et ne perdez pas votre temps à craindre de perdre ce que vous avez déjà
Si vous visez les étoiles, vous décrocherez peut-être la lune.
Si vous ne visez que le plafond, vous ne décrocherez qu’une ampoule…
La plupart des personnes qui vivent une vie extraordinaire croient dans leurs rêves depuis longtemps.
Elles se donnent des objectifs concrets qu’elles accompagnent d’actions.
Non, la vie n’est pas facile. Nous devons travailler pour obtenir quelque chose.
Nous devons prendre des risques calculés. Rome ne s’est pas construite en un jour, votre vie non plus.
C’est un effort constant, incessant.
Croyez-vous que d’écrire ce blogue ne me demande d’efforts ?
Je pourrais faire plein d’autres choses à la place. Nous sommes samedi après-midi, j’ai du temps libre.
Je pourrais aller au cinéma plutôt que forcer à écrire ces lignes, à synthétiser mes pensées pour vous les partager.
La clé est de modifier votre perception du travail, de ne plus voir que le seul effort mais tout ce qu’il vous apporte: compétence, résultats, fierté, entre autres.
Le divertissement et l’inaction n’apportent avec certitude qu’une seule chose: RIEN.
Pour vous aider à développer cette vision, je vous suggère de lire mon autre billet «Comment se fixer des objectifs et les atteindre».
Voici quand même un truc très utile (et surtout efficace) pour ne rien obtenir de la vie: il suffit de penser à tout ce que nous pouvons perdre. Cela limite merveilleusement bien nos rêves, nos choix et nos initiatives.
4. Découvrez la différence entre un simple souhait et une véritable décision
Tout le monde aimerait vivre des choses fantastiques mais, comme je le mentionnais plus haut, peu semblent vraiment prêts à faire ce qu’il faut pour que cela se produise.
Nous nous contentons souvent de formuler des souhaits: « j’aimerais maigrir », « j’aimerais changer d’emploi », « j’aimerais prendre ma retraite à cinquante ans ».
Mais nous nous inventons une multitude de raisons pour ne rien faire, et nous n’obtenons rien.
Au contraire, les personnes qui se réalisent sont musclées de la décision.
Elles sont habituées à prendre des décisions qui les conduisent à poser des gestes concrets.
Puisqu’elles assument la responsabilité de leurs résultats, elles continuent d’essayer jusqu’à ce que ce qu’elles aient obtenu ce qu’elles désirent, malgré les échecs qui surviennent sur leur chemin.
5. Soyez ambitieux au lieu de voir la vie en tout petit
Rappelez-vous, vous n’avez qu’une vie à vivre.
Vous ne pourrez pas arriver à 90 ans et dire, « Oh, bon, c’est le temps de recommencer ! »
Chaque jour qui passe ne reviendra jamais, et ça prend du temps pour construire sa vie de rêve.
Il vaut donc mieux commencer le plus rapidement possible, cesser de tergiverser et de se trouver d’excellentes mauvaises raisons de ne rien faire.
Les personnes qui ne se réalisent pas examinent sans cesse ce qui pourrait les faire échouer.
Elles se dérobent, remettent au lendemain et justifient leur inaction comme elles peuvent.
Leurs excuses vont de l’impression de ne pas avoir les qualités requises pour réussir à celle d’être prétentieuses si elles aspirent à mieux.
Tu n’as pas les qualités ou les compétences ?
Parfait.
Essaie, et tu les développeras.
Je ne connaissais strictement rien à l’Internet en 2000, et pourtant c’est ce qui me permet de gagner ma vie aujourd’hui. J’ai appris par moi-même.
Je n’ai même pas suivi de cours.
Face à l’absolu, que vous ayez vécu une vie profondément insatisfaisante ou, au contraire, absolument grandissante, ne changera strictement rien.
Cela ne changera rien, sauf pour une personne: vous-même pendant que vous vivez.
La réalisation de soi est donc un choix conscient que nous pouvons faire.
Alors, honnêtement, même si une personne me trouve prétentieux parce que je fais quelque chose d’honnête qui ne lui nuit en rien, c’est son problème à elle, et je n’ai pas de temps à perdre à m’en préoccuper, car elle est elle-même bien trop occupée à être malheureuse.
Confucius n’a-t-il pas dit quelque chose comme « Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi ceux qui voulaient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire et surtout l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire ».
Les personnes qui se réalisent savent saisir les opportunités malgré les obstacles et les difficultés.
Elles sont prêtes à faire face aux situations qu’elles désirent créer.
Leurs initiatives portent fruit parce qu’elles font ce qu’il faut pour réussir: elles aiment apprendre, elles sont créatives, elles ne remettent rien au lendemain, etc.
Un exercice pour nourrir le sens et vous motiver
Il existe deux grandes forces qui dirigent la majorité de nos comportements et se retrouvent à la base de la motivation.
Il s’agit de la recherche du plaisir et du désir d’éviter ce qui nous fait souffrir.
Ces forces influencent nos choix, nos actes, nos pensées et donc… notre motivation.
Et l’un des grands problèmes lorsqu’il s’agit de nous réaliser concerne notre motivation à nous impliquer vraiment !
Pour vous motiver, les actions que vous faites doivent être signifiantes, c’est-à-dire que vous devez avoir une vision à long terme des conséquences que vos actions (constructives ou pas) vous apportent.
Voici un exercice qui vous aidera à augmenter le sens et la motivation dans ce que vous faites.
Inscrivez un ou deux buts que vous voulez réaliser et qui sont vraiment importants pour vous, améliorer votre relation amoureuse ou faire plus d’exercice, par exemple.
1.
2.
Le confort de ne pas changer: découvrez quels plaisirs et quelles souffrances à court et à long terme vous associez au fait de ne pas changer:
- Faites une liste des souffrances que vous associez au fait de réaliser ces buts (vous avez peur d’échouer, par exemple).
- Notez quels plaisirs vous apporte le fait de ne pas changer (ce n’est pas forçant, il n’y a pas de mauvaises surprises, etc.).
Les raisons que vous avez notées constituent le sens qui vous retient, qui vous empêche d’avancer.
La satisfaction de changer pour le mieux: découvrez quels plaisirs vous gagnerez et quelles souffrances vous éliminerez à court et à long terme si vous changez:
- Écrivez tout ce qu’il vous en coûtera si vous ne réalisez pas les actions et les objectifs que vous devriez faire (ex.: honte, absence d’améliorations, etc.)
- Écrivez tout ce que les actions et le fait de réaliser vos objectifs positifs vous apporteront dans votre vie (ex.: fierté, satisfaction, quelles améliorations, etc.)
En terminant, voici une pensée à méditer:
- Pour vous réaliser, concentrez-vous sur vos ressources et non pas seulement sur ce qui vous manque, sinon vous tomberez rapidement en panne…
Si cet article vous a plu, sachez qu’il est tiré de mon livre Se poser les bonnes questions. Vous pouvez vous le procurer en version ebook pour le lire en entier.
Si des dimensions de votre vie ne vous satisfont pas, vous pouvez dès aujourd’hui commencer à imiter les personnes qui se réalisent le plus.
Qu’en pensez-vous ?
Êtes-vous du genre à passer à l’action et à vous réaliser ?
Qu’est-ce que vous trouvez le plus difficile ?
Les commentaires sont là pour vous.
Cécile says
Merci pour ce moment de plaisir ! Il est rare pour moi de lire et de voir que ma façon de penser et de concevoir la vie peut être partagée ! Je ne suis donc pas une extraterrestre.
Nicolas Sarrasin says
À moins que nous soyons tous deux des extraterrestres Cécile. 😉 Mais blague à part, je crois (et j’espère) que ce point de vue est quand même partagé par un nombre grandissant de personnes. Merci beaucoup de me lire et d’avoir eu la gentillesse de partager ce commentaire !
Alice says
Bonjour,
Que pensez vous du chômage et les problèmes financiers et de santé qui vont avec… Comment rester confiante et avoir de l’espoir lorsque vos démarches n’aboutissent à rien… Comment faire face à cette situation et se réaliser dans des conditions qui ne dépendent pas de nos actions où de nos pensées ? comment éviter la culpabilité, car je suis actuellement face à des échecs ou face à des résistances qui m’empêchent de me réaliser dans cette situation ? lorsque je lis votre article tout me paraît si simple.. parce que vous avez dépassé vos difficultés mais en les vivants vous n’aviez pas ce discours mais plutôt celui que je vous livre.
Nicolas Sarrasin says
Bonjour à vous,
Tout d’abord, je suis vraiment désolé si la vie vous éprouve et si vous vivez des difficultés. Ce n’est pas un bon moment, je le comprends, et je suis de tout cœur avec vous. Merci aussi de l’avoir partagé dans les commentaires !
Pour vous répondre, j’ai eu moi aussi mon lot de difficultés, et je vous surprendrai peut-être en vous disant que je vis moi-même actuellement plusieurs épreuves. Et oui, je suis humain, donc les pensées sombres et la déprime (etc.) ne sont pas longs à pointer leur nez. Mais je ne le laisse plus faire.
Il est décourageant de souffrir et de voir certains de nos efforts ne pas être récompensés, mais c’est la dure réalité de la vie, et je vous avoue que j’ai moi aussi parfois encore de la difficulté à l’accepter…
Je comprends aussi que, si vous vivez des difficultés, la priorité est de faire face aux différentes situations négatives qui se produisent. Selon la pyramide des besoins de Maslow, l’actualisation de soi vient à la fin, quand les autres besoins sont comblés.
Mon article se concentre beaucoup sur une chose fondamentale: nous concentrer sur ce que nous pouvons changer (et pas sur tout ce sur quoi nous n’avons aucun contrôle).
Face à cette constatation, lorsque je vis maintenant une épreuve, malgré ma fatigue, malgré ma frustration, malgré mon chagrin et parfois ma révolte, voici ce que je tente de faire:
– Si un projet ou mes démarches ne fonctionnent pas, je cherche ce qui a pu causer mon échec pour m’assurer de ne pas répéter mes erreurs. Je tente ensuite de corriger le tir et je recommence, malgré la frustration et le découragement…
– Face aux épreuves, j’essaie de voir ce que je contrôle, cette toute petite parcelle de contrôle sur ma vie, et je m’y concentre pour faire ce qui me permettrait d’augmenter cette « zone de contrôle » (voir cet article sur ce sujet: https://www.nicolassarrasin.com/responsabilisation-decouverte-change-vie)
– Lorsque je me sens coupable et que j’ai des idées noires causées par toutes ces épreuves, je me concentre à identifier les distorsions cognitives qui sont à l’œuvre pour les combattre, car elles ne font que m’automutiler mentalement. Si vous ne connaissez pas ce sujet, vous pouvez lire gratuitement mon livre le “Petit traité antidéprime” qui présente le sujet en détail: https://www.nicolassarrasin.com/livre-petit-traite-antideprime.
Je fais cela maintenant (je ne le faisais pas auparavant) simplement parce que je sais que si je me laisse abattre, que si je laisse tout tomber, les choses ne feront qu’empirer…
Bien sûr, si les épreuves sont trop grandes, il ne faut pas hésiter à consulter en santé. Quelqu’un m’a dit récemment qu’une partie de sa maison avait pris feu en plein hiver au moment où il travaillait 60 heures/semaine. Il est donc allé chercher de l’aide et a pris des antidépresseurs le temps de faire face à ce contexte très éprouvant.
Non, la vie n’est pas simple, et elle nous fait rarement des cadeaux, mais il y a un rôle que nous pouvons jouer pour améliorer les choses avec le temps. Mais même dans les pires moments, il ne faut pas oublier que les épreuves sont temporaires.
Bon courage, et je vous souhaite que tout aille mieux au plus vite !
Alice says
Bonjour,
je suis désolée de vous avoir écrit ce message… je vous remercie d’y avoir répondu avec sincérité. Merci!
Nicolas Sarrasin says
Merci à vous 😉
Fatima says
Bonjour Nicolas
Merci pour tout ce que vous proposez sur votre blog, et je peux dire que ce sont des informations très précieuses nous permettant de se hisser à un niveau supérieur si on les intègre et on les applique, of course!
En rapport à cet article, je voudrais rajouter qu’il faut célébrer chaque pas qui nous fait avancer vers notre réalisation, même petit, c’est une façon un peu d’amortir la douleur liée au passage à l’action, et habituer notre cerveau à un plaisir à court terme après l’effort. Par exemple s’offrir quelque chose qu’on aime, après la concrétisation d’une action, c’est très motivant!
Me concernant, c’est le choix d’un objectif précis qui me bloque un peu pour l’instant, parce que j’en ai quelques-uns liés à mes passions, auxquels je tiens, mais il faudrait bien que je commence quelque part, lol!
Pour finir, je souhaite bonne continuation à tous ceux qui sont en train de poursuivre leurs objectifs.
Nicolas Sarrasin says
Bonjour Fatima,
Vous nous avez offert un très beau commentaire, et une très bonne stratégie. En effet, il peut être très utile et motivant de célébrer chaque petit succès pour nous féliciter des efforts accomplis !
Cela fait tourner la roue du cercle vertueux de la réalisation de soi !
Merci encore, et j’espère que vous réaliserez bientôt encore bien des objectifs et des passions qui vous tiennent à cœur !
Nicolas
Karen says
Merci beaucoup pour cet article, il est très édifiant. Je viens de le découvrir et il me parle vraiment. C’est tout ce dont j’avais besoin pour me reconnecter à mon moi intérieur et passer à l’action.
Nicolas Sarrasin says
Je suis heureux d’avoir pu vous être utile Karen. 🙂