Dans cet article très détaillé, je vais vous parler de la série de pièges que le TOC vous tend sans cesse et dans lesquels il est très facile de tomber.
C’est ce qui entretient le cycle infini des obsessions et des compulsions qui entretient la souffrance.
Si vous en souffrez, le fait de connaître ces pièges constitue une bonne première étape pour apprendre à les éviter et travailler à regagner votre qualité.
Le trouble obsessionnel-compulsif est sournois.
La manière dont il se manifeste porte à la confusion autant les personnes qui en souffrent que les membres de leur entourage qui les voient souffrir et ne savent pas comment les aider.
Bien que le fonctionnement du TOC ne soit pas compliqué à comprendre, ce dernier suit certaines «constantes» qui sont particulièrement contre-intuitives, et cela, peu importe le sujet des pensées intrusives qui vous font souffrir.
Le résultat est que les personnes qui en souffrent restent prises dans le cycle incessant de ses symptômes où les obsessions et les compulsions se succèdent, et cela sans relâche.
À travers mon travail et les nombreuses personnes qui me contactent (bien que je rappelle que je ne fais pas de consultation/psychothérapie), je constate combien le TOC ressemble à une impasse infinie dont l’un des moyens les plus sûrs de sortir consiste à comprendre son fonctionnement.
Encore une fois, même si ce fonctionnement est simple à comprendre, il comporte de nombreux éléments qui doivent être compris, notamment en regard du cerveau duquel il prend sa source.
C’est ce fonctionnement que j’explique en détail dans mon programme Web vidéo complet qui présente également comment fonctionne son traitement considéré scientifiquement le plus efficace (l’exposition avec prévention de la réponse) et comment l’appliquer de manière autodirigée.
Et un des points communs à toutes les personnes qui souffrent du TOC réside dans le fait qu’elles tombent à répétition dans les «pièges» qu’il leur tend.
Ces pièges sont très difficiles à identifier pour ces personnes et, pour tout dire, pour tout le monde car il faut connaître le fonctionnement du cerveau pour arriver à les voir à l’œuvre.
Mais ces pièges deviennent évidents une fois qu’on les connaît et qu’on comprend les processus dont ils découlent.
Mais sinon, ils semblent complètement invisibles.
Et cette «invisibilité» vient du fait qu’ils sont profondément contre-intuitifs.
Autrement dit, lorsque vous tombez dans les pièges du TOC, vous croyez faire preuve de bon sens, vous suivez votre intuition et ce que vous croyez qui vous aidera.
Mais, comme vous l’apprendrez ci-dessous, ces apparentes solutions pleines de bon sens ne seront, la plupart du temps, que les symptômes du TOC lui-même qui entretiendront votre souffrance.
Alors même si vous ne comprenez pas encore le TOC en détail et n’avez pas encore commencé à profiter de mon programme, je vous propose dans cet article un petit raccourci pour vous aider.
Si vous en souffrez et que vous désirez aller mieux, bien qu’il reste extrêmement important de consacrer le temps et les efforts à bien comprendre ce trouble, voici un résumé de ses pièges qui sont à la fois tenaces, constants et systématiques.
Le fait de les connaître vous aidera à sortir des impasses dans lesquelles le TOC vous condamne, comme si vous étiez en mesure de trouver le plan qui vous permettrait enfin de sortir du labyrinthe auquel vous pensiez qu’il était impossible d’échapper.
En fait, je présente ci-dessous non seulement ses pièges mais aussi les habitudes et les mauvaises manières d’aborder ce trouble qui portent à continuer à en souffrir, donc qui constituent elles aussi des pièges.
La liste des pièges du trouble obsessionnel-compulsif
Les deux premiers pièges que je vais vous présenter découlent des symptômes du TOC lui-même.
Il s’agit de pièges car le fait d’ignorer en quoi consistent ces symptômes et comment ils peuvent se manifester vous condamne à les répéter inlassablement et à en souffrir.
1. Le piège de donner du crédit à vos obsessions (pensées intrusives, doutes, peurs, etc.)
Il n’y a pas de trouble obsessionnel-compulsif sans les obsessions. Le premier symptôme, pour ainsi dire.
Les obsessions se manifestent sous forme de pensées intrusives, de peurs, de doutes, de mots, de phrases, d’images, mais aussi parfois sous forme d’impressions, de faux souvenirs, de sensations, etc.
Même si ces obsessions ne sont qu’un symptôme qui n’est pas dangereux et qu'elles ne signifient rien, les personnes qui souffrent de TOC leur accordent une très grande importance.
Cette importance se retrouve même à la base de ce qui porte à souffrir du TOC.
Comme je l’explique en détail dans mon livre sur les pensées intrusives, il s’agit du premier piège du TOC, le fameux «hameçon mental».
Ce «crédit» et cette importance accordés aux obsessions peut prendre un nombre très varié de formes, comme je le présente aussi dans cet article que je vous invite à lire.
Si vous désirez en apprendre davantage sur ce piège, j’ai même créé une série complète d’articles sur les obsessions.
2. Le piège de réagir à vos obsessions par des compulsions
Le deuxième piège fondamental du TOC réside dans la manière de réagir à vos obsessions.
Puisque ces pensées intrusives sont habituellement associées à des peurs qui font augmenter l’anxiété, la manière intuitive d’y réagir est d’adopter des comportements qui visent à réduire rapidement le malaise de la peur et de l’anxiété.
Ces comportements répétés sont les compulsions et ils peuvent être autant physiques (ex.: se laver les mains) que mentaux (ex.: analyser ses souvenirs pour se rassurer).
Le piège des compulsions se met en place directement à la suite du premier piège des obsessions car, si vous n’accordiez pas d’attention à vos obsessions, si vous n’en aviez pas peur, vous ne ressentiriez pas le besoin de vous en soulager car elles ne généreraient pas d’anxiété.
Autrement dit, vos obsessions suscitent de l’anxiété parce que vous leur donnez du crédit et de l’attention (piège 1), et c’est ce qui vous porte à répéter les compulsions pour vous en soulager (piège 2).
C’est ainsi que les double piège du cycle infini des «obsessions-compulsions» se met en place.
Mais puisque les compulsions, même si elles soulagent sur le coup, entretiennent et empirent la sensibilité du cerveau face à ses peurs (obsessions), elles portent ces dernières à revenir plus souvent et plus intensément.
Il s’agit d’un cercle vicieux.
Ainsi, les compulsions, que les personnes qui souffrent de TOC voient comme des solutions intuitives à leur souffrance, font partie intégrante du problème.
Voici quelques exemples de la manière dont s’exprime le piège des compulsions:
- Combattre vos pensées de différentes manières, notamment en essayant de les éviter en détournant votre attention.
- Vous juger d’avoir vos pensées et vous dire que si vous les acceptez c’est que vous les laissez «gagner» ou que vous acceptez qu’elles soient «vraies».
- Le fait de chercher à vous rassurer de toutes les manières possibles: consulter les autres, fouiller dans vos souvenirs, chercher sur Internet, vérifier si ce que vous vivez est «normal», faire des tests, etc.
- Le fait d’analyser vos pensées, leur chercher des causes, vous poser mille questions à leur sujet.
- Etc.
Si vous désirez en apprendre davantage sur ce piège, j’ai aussi créé une série complète d’articles sur les compulsions.
3. Le piège de vous préoccuper du sujet de vos pensées et non de leurs caractéristiques
Le troisième piège que le TOC vous tend découle des deux premiers que je viens de vous présenter.
Le fait de donner une importance démesurée à vos pensées intrusives (obsessions) vous porte à les analyser, à vous questionner à leur sujet de multiples manières (compulsions).
Cela vous conduit à faire l’erreur d’accorder beaucoup d’importance au contenu de vos pensées elles-mêmes.
Pourtant, comme je l’explique en détail dans mon programme, ces pensées ne veulent rien dire, ne signifient rien sur vous, ne peuvent pas vous changer ni vous faire agir contre votre gré, etc.
Elles sont imaginées par le cerveau et ne constituent qu’un des symptômes principaux du trouble obsessionnel-compulsif: les obsessions.
Mais le fait d’accorder autant d’importance à vos obsessions vous porte à chercher des informations à leur sujet, informations qui souvent vont vous inquiéter davantage au lieu de vous aider et vous porter à croire, à tort, que vous êtes seul(e) à vivre ce que vous vivez.
Vous êtes pourtant aux prises avec le TOC et, même si les sujets de vos obsessions peuvent être aussi variés que tout ce que vous pouvez imaginer, ce ne sont pas les sujets de vos pensées qui sont importants, mais leurs caractéristiques qui permettent de les identifier comme un symptôme du TOC, un symptôme que vous pouvez traiter.
En effet, même si les sujets des obsessions peuvent être virtuellement infinis, les symptômes du TOC fonctionnent globalement toujours de la même manière pour tout le monde, et c’est ce qui permet de les traiter efficacement.
Dans ce cas, le piège consisterait à croire que, parce que vous ne vous concentrez que sur les sujets de vos pensées, votre cas serait différent et le traitement du TOC ne fonctionnerait peut-être pas pour vous.
Ce piège vous porterait ainsi à faire l’erreur de rechercher des informations qui correspondent exactement au sujet de vos pensées.
Or, le TOC et les peurs qu'il engendre dépendent de l'imagination, qui est illimitée.
Malgré mon article exhaustif sur les obsessions et leurs sujets les plus fréquents, celui-ci ne peut contenir une liste qui inclurait tout ce que toutes les personnes qui souffrent de TOC peuvent imaginer.
Par contre, cet article contient au début une liste de critères qui permet d'établir si les pensées et les peurs sont des obsessions qui découlent du TOC.
Pour sortir de ce piège qui consiste à ne rechercher inutilement que ce qui correspond exactement au sujet de vos pensées, vous devez vous concentrer sur le fonctionnement général du TOC, qui est commun à tous, et à son traitement, qui est aussi commun à tous.
Vous devez donc vous concentrer sur les caractéristiques générales de vos pensées et non sur leurs thèmes, et apprendre globalement comment fonctionne le TOC, quels sont ses causes générales, ses pièges et, surtout, comment le traiter, peu importe les sujets de vos pensées et des vos peurs.
4. Le piège de ne pas prendre le TOC au sérieux et de ne pas faire les efforts nécessaires pour le traiter
Entre la possibilité de souffrir longuement du TOC et celle de le traiter avec succès, une grande partie dépend de vous-même.
Or, comme tous les êtres humains, nous partageons des faiblesses qui n’aident pas à réussir.
Ces faiblesses normales sont en quelque sorte un autre piège qui risque de vous empêcher de regagner votre qualité de vie.
Parmi ces faiblesses, que je partage évidemment avec tous les autres êtres humains, il y a la paresse.
Il est dans la nature humaine de vouloir obtenir des résultats sans avoir à fournir d’efforts.
C’est donc à partir de ce «piège de la paresse», inhérent à tout être humain, qu’il est possible d’identifier les «sous-pièges» que voici et qui nuisent à la possibilité d’aller mieux.
4.1 Croire que le TOC disparaîtra tout seul… et attendre
Le TOC arrive souvent d’un coup, comme ça, sans crier gare.
Il peut y avoir un événement apparemment déclencheur, ou pas.
Identifier un tel événement n’est d’ailleurs pas important car le TOC découle d’une sensibilité à développer ses symptômes au niveau du cerveau, et ce ne sont pas les événements qui causent le TOC, même s’ils peuvent parfois favoriser la survenue des symptômes, pour la première fois ou non.
Mais puisque le TOC apparaît souvent (ou semble apparaître: car il y a habituellement des éléments liés qu’on n’identifie pas) d’un coup, on espère souvent aussi qu’il disparaîtra d’un coup, comme il est venu.
De plus, le TOC implique une variation de l’intensité de ses symptômes: il y a des hauts et des bas.
Parfois, l’anxiété est à son paroxysme, et parfois le TOC semble avoir disparu tant ses symptômes sont faibles.
Lorsque les symptômes sont faibles, cela peut porter à croire qu’il a disparu et qu’il ne reviendra pas.
Malheureusement, puisque le TOC découle du cerveau, les spécialistes s’entendent pour dire que s’il n’est pas traité, il ne disparaît pas tout seul.
Il peut laisser tranquille un moment, mais il revient ensuite en force et fait beaucoup souffrir.
C’est la raison pour laquelle le meilleur choix que vous puissiez faire pour aller mieux est de ne pas écouter la «paresse» qui vous ferait croire (ou espérer) que le TOC disparaîtra tout seul.
Car en attendant, vous continuez à souffrir inutilement. Et cette attente peut être longue…
4.2. Chercher une solution «miracle»
En plus de l’attentisme que j’ai présenté au point précédent, il y a le piège de rechercher un traitement qui donnerait des résultats rapides sans avoir à fournir d’efforts.
Il existe une foule d’approches en psychothérapie, mais celle qui est reconnu scientifiquement comme étant la plus efficace appartient aux thérapies cognitivo-comportementales et se nomme l’exposition avec prévention de la réponse.
Et la mauvaise nouvelle, c’est que réaliser cette thérapie demande de la patience et aussi de fournir certains efforts.
Les exercices du traitement doivent être réalisés plusieurs fois par semaine (idéalement 4 séances d’au moins 30 minutes chacune selon les spécialistes), et cela prend habituellement quelques semaines avant d’obtenir les premiers bons résultats.
Alors si vous cherchez une méthode «miracle» qui n’impliquerait aucun effort, vous risquez aussi de n’obtenir qu’un seul résultat: celui de continuer à souffrir du TOC.
C’est la raison pour laquelle notre «paresse» naturelle peut nous porter à faire de mauvais choix.
Mais dites-vous bien que la «souffrance» des efforts que vous fournirez pour aller mieux en réalisant l’exposition avec prévention de la réponse n’est rien en comparaison de la souffrance que le TOC vous imposera à long terme.
Dans ce contexte, le choix de fournir les efforts adéquats pour traiter efficacement votre TOC devient évident.
4.3. Le piège de croire que les séances de psychothérapie auront un effet du simple fait d’y recourir, sans avoir à faire d’efforts ni appliquer les exercices par vous-même
Ce piège est évidemment une continuité de celui qui précède.
Certaines personnes croient, à tort, que le simple fait d’assister à des séances de psychothérapie donnera automatiquement des résultats sans qu’elles n’aient rien à faire.
Mais même avec le meilleur psychologue du monde, pour que le travail thérapeutique fonctionne, vous devez vous impliquer.
Le TOC provient notamment de votre manière de voir et d’interpréter vos propres pensées (piège 1).
Alors si vous n’avez pas d’ouverture à modifier votre manière d’interpréter vos pensées, malgré tout ce que votre excellent psychologue vous dira, vous n’obtiendrez pas de résultats.
Le psychologue vous fournit des outils, des explications, un cadre, des exercices, du support pour améliorer les choses.
C’est une partie très importante du chemin.
Mais pour arriver à destination, vous devez également parcourir votre part du chemin.
Cela consiste à vous impliquer dans votre thérapie, à fournir les efforts pour réaliser les exercices d’exposition avec prévention de la réponse, et à entretenir l’ouverture nécessaire pour apporter les «changements intérieurs» nécessaires à la guérison.
Encore une fois, tout cela demande des efforts, le contraire de la paresse.
4.4. Confondre vos obsessions et vos compulsions
Toujours dans la même veine de la paresse qui porte à ne pas traiter le TOC ou à choisir un traitement «miracle» moins efficace (ou carrément inefficace), il existe un autre piège: celui de ne pas prendre le temps de comprendre le TOC et son fonctionnement.
Cette incompréhension du TOC porte à confondre ses symptômes, ce qui aide davantage à tomber dans leurs pièges (numéros 1 et 2).
Comme je l’expliquais plus haut, le TOC fonctionne à la base de la même manière chez tout le monde, même si les thèmes des obsessions et l’expression des compulsions varient d’une personne à l’autre.
Pour cette raison, si vous n’écoutez pas la paresse et faites l’effort d’apprendre sur le TOC et son fonctionnement, comme vous le faites en lisant cet article, vous mettrez les chances de votre côté pour identifier de plus en plus facilement ses pièges et arriver plus facilement à les éviter (et à en sortir quand vous retombez dedans).
J’ai écrit une grande quantité d’articles qui portent sur toutes les facettes du TOC.
Je vous invite donc à les lire pour augmenter votre compréhension de ce que vous vivez et vous outiller pour aller mieux.
5. Le piège d’appliquer le doute du TOC à son traitement lui-même ou douter même d’en souffrir
Dans le trouble obsessionnel-compulsif, l’une des formes fréquentes que prennent les obsessions est le doute.
Certaines personnes ont des doutes obsessionnels au sujet de leur orientation sexuelle.
D’autres doutent constamment au sujet du risque d’avoir fait du mal aux autres.
D’autres encore doutent de leur état de santé à travers l’hypocondrie.
Et le pire, c’est lorsque le sujet du doute porte sur sa capacité même à traiter le TOC.
Je pourrais multiplier les exemples encore et encore.
Écouter vos doutes est un piège qui relève aussi du piège numéro 1: celui de donner du crédit à vos obsessions, puisque les doutes constituent l’une des formes qu’elles peuvent prendre.
Si vous désirez aller plus loin, j’ai écrit un article complet sur ce piège.
Pour vous libérer de ces pièges une fois pour toutes
Alors, maintenant que vous connaissez les pièges que le TOC vous tend constamment et qui vous portent à répéter sans cesse le cycle des obsessions et des compulsions, que pouvez-vous faire?
La meilleure avenue est sans contredit celle de choisir d’appliquer sérieusement le traitement le plus adapté: l’exposition avec prévention de la réponse.
Mais réaliser ce traitement ne s’improvise pas.
Vous devez disposer d’un cadre clair, d’une structure à suivre pour l’appliquer de la bonne manière, éviter les erreurs et savoir comment surmonter les obstacles pour obtenir les meilleurs résultats.
C’est pour vous aider en ce sens que j’ai créé mon programme Web vidéo autodirigé «Libérez-vous du TOC et des obsessions» ainsi que ses modules complémentaires qui portent sur certains types de TOC en particulier:
Toutes mes ressources vous expliquent comment adapter et appliquer de manière autodirigée (self-help) le traitement d’exposition avec prévention de la réponse à votre situation et à vos besoins.
Libérez-vous du TOC et des obsessions
Programme Web vidéo complet sur le traitement du TOC et accompagné de mon ebook sur les pensées intrusives en introduction.
Module complémentaire sur la phobie d'impulsion
Module Web vidéo sur le traitement de la phobie d'impulsion et complémentaire à mon programme principal.
Module complémentaire sur le «TOC homo»
Module Web vidéo sur le traitement du TOC de la peur d'être homosexuel.
De la crise de panique à la tranquillité
Ebook de stratégies d'intervention rapide pour une guérison durable.
Module complémentaire antidéprime
Module Web vidéo pour se libérer de la déprime en tant que conséquence fréquente du TOC.
Ai-je un TOC? (ebook)
Ebook pour vous aider à savoir si vous souffrez bien de TOC.
Mais il est aussi recommandé de consulter.
Si vous désirez le faire, choisissez un(e) psychologue d'orientation cognitivo-comportementale qui est spécialisé(e) dans le traitement du TOC.
Ce sont les meilleurs spécialistes pour vous aider avec ce type de problème et, avant de débuter les séances, assurez-vous qu’il/elle peut réaliser le traitement d’exposition avec prévention de la réponse avec vous, car il est le plus efficace pour arrêter les TOCS.
Voici une page qui vous aidera à trouver un(e) psychologue.
Il ne faut pas perdre espoir car des solutions efficaces et concrètes existent, tout comme plusieurs personnes ont témoigné de leur guérison du TOC.
Il faut cependant prendre le temps de comprendre le TOC, son fonctionnement et ses pièges, et faire les efforts d’appliquer le traitement qui est le plus efficace face à ce type particulier de trouble.
J’espère de tout cœur que cet article et les nombreuses ressources en ligne sur le TOC de mon site vous aideront comme elles ont déjà aidé un grand nombre de personnes aux prises avec ce problème.
Si vous désirez partager vos expériences personnelles ou si vous avez des questions, les commentaires ci-dessous sont là pour vous!
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