Si vous êtes sur cette page, c’est probablement parce que vous avez cherché sur Internet quelque chose comme « nicolas sarrasin avis / critique ».
Vous êtes peut-être surpris de tomber sur mon site, mais c’est exactement pour vous aider sur le sujet de votre recherche que j’ai créé cette présente page.
Je vous invite donc à poursuivre votre lecture.
Je ne suis évidemment pas objectif et je ne peux pas moi-même vous donner un avis à propos de mon propre travail. Mais ce n’est pas le but de cette page.
Par contre, puisque je me trouve au centre de mon travail et des personnes qui en bénéficient, je suis en mesure de vous référer aux avis / critiques que celles et ceux qui utilisent mes ressources m’ont partagés.
Pour lire ces avis, je vous invite donc à consulter la page qui les présente et que les gens qui utilisent mes ressources ont envoyés.
En lisant ces avis, vous aurez une bonne idée de la qualité de mes ressources et vous saurez si elles remplissent bien leur rôle et seraient bonnes pour vous aider.
J’ai reçu chacun de ces messages soit par email, soit par messagerie, et j’ai demandé chaque fois la permission à la personne qui me l’a envoyé de le partager sur mon site.
Mon travail consiste à vulgariser et à rendre accessible les manières de traiter le TOC qui sont les plus efficaces et les plus validées scientifiquement.
Je n’ai donc rien inventé de ce que je présente dans mes ressources.
Car le trouble obsessionnel-compulsif est encore peu connu, mal compris et souvent traité de façon inefficace, cela lorsqu’il est bien diagnostiqué.
En effet, comme l’indiquent la Dre Kimberly Glazier et ses collaborateurs, «la nature hétérogène du trouble obsessionnel-compulsif (TOC) l’expose à un risque élevé d’identification erronée» (Note 1, ma traduction).
Selon leurs travaux, le taux de mauvais diagnostic pour le trouble obsessionnel-compulsif pourrait être aussi élevé que 50%.
Et puisque le TOC touche jusqu’à 2% de la population (2), cela laisse de nombreuses personnes peu ou mal outillées pour améliorer leur qualité de vie face à ce trouble qui peut devenir très lourd à porter au quotidien.
Alors avec les années, quelle n’a pas été ma surprise de recevoir autant de mots de remerciements de la part des personnes qui utilisaient mon programme et ses modules complémentaires.
Je ne m’attendais pas à aider autant et je vous assure que j’en ai été le premier surpris!
Mais j’ai constaté des points communs à toutes ces personnes:
- Elles apprenaient enfin ce dont elles souffraient (je ne fais pas de diagnostic, mais les informations que je fournis sur mon site ont aidé plus d’une personne à préciser ce dont elles souffraient et plusieurs sont allé chercher un diagnostic en consultant les professionnels de la santé en mesure de leur en fournir un: psychologues ou psychiatres);
- Elles apprenaient qu’elles n’étaient pas seules et que des solutions efficaces existaient (elles vivaient donc un très grand soulagement);
- Elles découvraient les manières réellement efficaces de traiter le TOC: ces personnes avaient souvent essayé auparavant bien des choses, mais sans succès (et surtout que les méthodes vraiment efficaces sont contre-intuitives: il est donc pratiquement impossible de penser les utiliser par soi-même sans d’abord les connaître);
- Elles voyaient enfin une amélioration dans leur qualité de vie, à mesure qu’elles avançaient dans l’application du traitement.
Considérant la souffrance que le TOC peut imposer à la vie et le contexte dans lequel la plupart des gens en souffrent, je comprends donc pourquoi tant de personnes ont senti un poids aussi lourd être retiré de leurs épaules.
Alors si vous cherchez des avis ou des critiques au sujet des ressources qui se trouvent sur NicolasSarrasin.com, cette page constitue une bonne manière de répondre à vos interrogations.
Si vous avez des doutes à mon sujet ou à savoir si mes ressources peuvent vraiment vous aider, cette autre page a été conçue pour répondre à vos interrogations.
Et si vous cherchez de l’aide pour améliorer votre qualité de vie face au trouble obsessionnel-compulsif, toutes mes meilleures ressources (premium et gratuites) se trouvent sur mon site et je vous invite à en profiter.
Je vous souhaite le meilleur,
Nicolas
Références
1. Kimberly Glazier, Matt Swing et Lata K. McGinn, «Half of obsessive-compulsive disorder cases misdiagnosed: vignette-based survey of primary care physicians», dans Journal of Clinical Psychiatry, 2015 vol. 76, no 6, p. e761-e767.
2. Prevalence of Obsessive-Compulsive Disorder Among Adults, National Institute of Mental Health.