Salut tout le monde, c’est Nic. J’ai le plaisir de vous partager un article issu d’une collaboration avec Simon Cavé. Voici son article qui vous permettra d'apprendre comment prendre les meilleures décisions possibles, surtout les plus difficiles. Bonne lecture!
Nous prenons des milliers de décisions chaque jour.
Environ 35 000 d’après une étude (1).
Beaucoup de ces décisions sont routinières, du type:
- Qu’est-ce que je vais faire à manger ce soir?
- Est-ce que je ne prendrais pas cette route pour changer un peu?
- Qu’est-ce qu’on peut faire ce week-end? Piscine? Randonnée? Cinéma?
On prend généralement ce type de décision relativement rapidement.
D’autres, en revanche, nécessitent plus de temps et de réflexion.
Ce sont les choix difficiles du type:
- Est-ce que je devrais changer de profession?
- Est-ce que je devrais déménager?
- Dois-je rester en couple?
- Est-ce que je devrais créer mon entreprise?
Ces choix sont difficiles parce qu’ils définissent la trajectoire de notre vie.
Il n’est d’ailleurs pas rare de rester bloqué(e) plusieurs mois, voire plusieurs années, avant de trancher et prendre une décision.
Alors, comment prend-on ces décisions difficiles exactement?
Et comment surmonte-t-on les blocages pour éviter de tergiverser pendant des années?
Dans cet article, nous allons voir comment faire des choix difficiles à l’aide de ce que l’on appelle la matrice de décision.
Mais avant cela, faisons un point sur ce qu’est un choix difficile.
Qu’est-ce que faire des choix difficiles?
Un choix est difficile quand il comporte une ou plusieurs des caractéristiques suivantes:
- Il est incertain;
- Il est complexe;
- Il implique un risque;
- Son impact est important;
- Il comprend une multitude d’alternatives;
- Il implique des problématiques interpersonnelles.
Regardons en détail chacune de ces caractéristiques.
Les choix difficiles sont incertains
Faire des choix est difficile quand vous ne disposez pas de tous les éléments.
Si vous cherchez à déménager dans une ville que vous ne connaissez pas, par exemple, et que vous ne savez pas si vous vous y plairez, vous aurez du mal à prendre votre décision.
Et si vous voulez changer complètement de métier et que vous ne savez pas si ce nouveau métier est le bon, le choix sera, là aussi, difficile.
En fait, dès lors que vous prenez une décision importante et que celle-ci comporte une grande part d’inconnu, votre choix sera difficile.
Les choix difficiles sont complexes
Il est difficile de choisir lorsqu’on doit prendre en compte une multitude de facteurs qui sont interconnectés les uns aux autres.
Admettons que soyez patron(ne) de votre entreprise et que vous deviez faire le choix suivant: Renforcer votre présence sur le territoire ou internationaliser votre entreprise.
Vous devrez considérer beaucoup de facteurs.
Dans le cas où vous décidez de renforcer votre présence, vous devrez choisir la façon dont vous le ferez.
Est-ce que c’est en faisant des partenariats?
En investissant en marketing?
En créant de nouveaux produits?
Et si vous faites le choix de vous internationaliser, vous devrez préciser comment vous le ferez.
Est-ce que c’est en faisant une levée de fonds?
Est-ce que c’est en vous associant avec une autre entreprise locale?
Sans compter que vous devrez aussi déterminer dans quel pays vous implanter.
On voit bien ici que le choix est à plusieurs niveaux et qu’il y a une multitude d’éléments à prendre en compte, ce qui le rend difficile.
Les choix difficiles impliquent un risque important
Prendre des risques est quelque chose que nous redoutons tous (certains plus que d’autres, selon le niveau de prudence et d’anxiété).
Et cela s’explique par le fait que nous cherchons tous à éviter de vivre des expériences douloureuses.
Quand on doit faire un choix et que ce choix implique la probabilité de vivre une mauvaise expérience, on a plus de mal à prendre notre décision.
Démarrer une entreprise, par exemple, est souvent un choix difficile.
On a beau avoir fait des études de marché et préparé un plan béton, il y a toujours une probabilité plus ou moins importante que l’on ne réussisse pas.
Et dans le cas où on ne réussit pas, l’expérience est douloureuse.
On est déçu de nous-même, on a perdu de l’argent et on doit affronter le regard des autres.
Donc les choix qui impliquent de prendre des risques sont difficiles parce qu’ils nous exposent potentiellement à des expériences douloureuses.
Les choix sont difficiles quand ils ont un impact conséquent
Faire des choix est difficile quand on sait que ce qui en découle a un impact soit sur d’autres personnes soit sur notre environnement.
Si vous avez une famille, par exemple, et que vous hésitez entre rester dans votre région ou déménager à plusieurs centaines de kilomètres de chez vous, le choix sera difficile car il touchera votre famille.
De même, si vous êtes patron(ne) d’une manufacture et que votre entreprise est sur le point de couler parce que d’autres concurrents moins chers sont arrivés sur le marché, vous devrez faire un choix extrêmement difficile.
Vous devrez soit fermer complètement votre entreprise et, dans ces cas tous, vos employés se retrouveront sans emploi, soit vous sous-traitez dans un pays moins cher où vous aurez peut-être la chance de survivre…
Quand nos choix ne touchent pas que notre vie mais ont aussi une incidence sur celle des autres, il est beaucoup plus difficile de prendre une décision.
Les choix sont difficiles quand il y a une multitude d’alternatives
Dans son livre Le Paradoxe du Choix (2), Barry Schwartz explique que faire face à une multitude de choix épuise notre cerveau et que cela peut provoquer la paralysie de l’action.
Et c’est assez logique, quand on y réfléchit bien.
Plus le nombre de choix est important, plus on doit considérer d’alternatives et passer du temps à étudier chacune d’entre elles.
Résultat: on a plus de mal à savoir quoi faire et donc le choix est plus difficile.
Les choix sont difficiles quand ils impliquent des problématiques interpersonnelles
Certaines décisions sont faciles à prendre en soi mais quand on y ajoute des problématiques interpersonnelles, cela devient tout de suite plus compliqué.
Déménager à quelques kilomètres d’où on habite pour être plus proche de son travail par exemple n’est pas difficile en soi.
Mais si on ajoute à cela le fait que notre conjoint(e) ne veut pas déménager, les choses deviennent plus compliquées.
De même, démissionner quand notre travail ne nous plaît pas n’est pas difficile en soi.
Mais quand on ajoute à cela le fait qu’on a une famille à supporter et qu’on est le seul gagne-pain, le choix est aussi plus compliqué.
Prendre une décision est toujours plus difficile quand cela a un impact sur une relation amoureuse, amicale, familiale ou professionnelle.
Maintenant que j’ai abordé ce qu’est un choix difficile, nous allons voir comment faire ces choix grâce à ce que l’on appelle une matrice de décision.
Qu’est-ce que la matrice de décision?
La matrice de décision est un outil qui facilite la prise de décision.
C’est en fait un tableau qui regroupe tous nos choix ainsi que les différents critères à considérer pour les départager.
Cette matrice facilite la prise de décision parce qu’elle permet de savoir quel est le meilleur choix grâce à un système de pondération.
Comment fonctionne la matrice de décision?
La matrice de décision se décompose en 8 étapes que nous allons voir maintenant.
Étape 1. Identifiez votre décision
La première étape consiste simplement à définir précisément quelle est la décision que vous devez prendre.
Par exemple si vous hésitez à déménager, écrivez: «Est-ce que je dois déménager ou rester ici?»
Étape 2. Listez vos différents choix
Par définition, une décision implique plusieurs choix.
Si vous hésitez à déménager, vos choix se porteront sur les différents endroits où vous souhaitez habiter.
Par exemple Paris, Lyon, Marseille.
Peu importe le nombre de choix que vous considérez, faites-en la liste dans l’étape 2.
Étape 3. Définissez vos critères d’évaluation et pondérez-les
Pour faire votre choix, vous devez prendre en compte plusieurs critères que vous jugez pertinents et importants.
Dans le cas du déménagement par exemple, vous pourriez prendre en compte les critères suivants:
- Le temps: Est-ce que le temps est agréable dans cette ville?
- Le prix du logement: Est-ce qu’acheter ou louer dans cette ville est abordable?
- La qualité de vie: Est-ce qu’il fait bon vivre? Est-ce que la ville réunit toutes les conditions pour que vous vous sentiez bien?
- La proximité avec le travail: Est-ce qu’il est facile de trouver un logement à côté du travail?
- Les amis: Est-ce que vous avez des amis ou même de la famille qui habitent dans cette ville?
Une fois que vous avez déterminé vos critères, définissez leur importance en choisissant une pondération pour chacun d’entre eux.
Pour cela, attribuez-leur une note entre 0 et 5.
Si vous estimez que le temps est un critère important par exemple, mettez-lui une note de 4 sur 5.
De la même manière, si la proximité avec le travail ne compte pas vraiment pour vous, mettez une note de 2 sur 5.
Vous devriez vous retrouver avec quelque chose qui peut ressembler à cela:
- Temps (4/5)
- Prix du logement (3/5)
- Qualité de vie (5/5)
- Proximité avec le travail (2/5)
- Amis (4/5)
Étape 4. Créez votre matrice de décision
L’étape 4 est l’étape où vous créez votre tableau et où vous placez vos différents choix et critères de la façon suivante:
Étape 5. Notez vos choix
Maintenant que votre tableau est prêt et que vous l’avez pré-rempli, il est temps de commencer les calculs.
Pour cela, notez vos choix en fonction de vos critères.
Donc ici, commencez par Paris et notez le temps qu’il fait dans cette ville.
Si vous estimez que le temps est plutôt bon mettez une note de 4 et si vous estimez que la qualité de vie est mauvaise, mettez un 2.
Notez chacun de vos choix en fonction des critères que vous avez sélectionnés.
5 étant la meilleure note et 0 la plus mauvaise.
Étape 6. Pondérez vos choix
Une fois que vous avez noté vos choix, vous devez pondérer chaque note.
Pour le temps à Paris, par exemple, vous devez prendre la note de 4 et la multiplier par l’importance que vous accordez au temps qui est de 4.
Donc 4 x 4 = 16.
Faites la même chose pour les autres villes et critères.
Étape 7. Additionnez les notes
Maintenant que vous avez les notes pondérées, vous devez les additionner entre elles pour obtenir le total pondéré de vos choix:
- Paris: 16 + 3 + 10 + 2+ 16 = 47
- Lyon: 16 + 6 + 20 + 4 + 12 = 58
- Marseille: 20 + 9 + 25 + 6 + 12 = 72
Étape 8. Prenez votre décision
Pour cette dernière étape, il ne vous reste qu’à regarder les scores obtenus pour déterminer quelle décision prendre.
- Marseille: 72
- Lyon: 58
- Paris: 47
D’après les résultats, il semblerait ici que Marseille est la ville où vous devriez déménager.
Ces 8 étapes simples permettent donc de rapidement dégager le meilleur choix.
En notant et en pondérant chacune de vos alternatives, vous dégagerez tout de suite un vainqueur et prendre votre décision sera alors beaucoup plus facile.
Quelques conseils pour appliquer la matrice de décision
Même si la matrice de décision est simple à utiliser, vous devez quand même garder quelques éléments en tête pour qu’elle fonctionne le mieux possible pour vous.
Dans les parties suivantes de l’article vous découvrirez quelques conseils qui vous aideront à tirer meilleur parti de cet outil.
Allez à la pêche aux informations
Le piège, quand on applique la matrice de décision, est de se limiter aux seules informations dont dispose.
C’est-à-dire de faire notre choix en se basant seulement sur nos connaissances, croyances et ce que l’on a entendu dire.
Pour prendre de meilleures décisions, on doit aller au-delà de ce que l’on connaît et faire des recherches.
Si vous voulez déménager à Paris, Lyon ou Marseille par exemple, il est préférable de faire des recherches approfondies sur ces villes.
Vous pouvez par exemple vous renseigner sur les prix de l’immobilier en consultant des magazines spécialisés, passer un week-end dans chaque ville pour savoir si vous vous y voyez vivre, poser des questions à des personnes qui y habite déjà...
L’objectif est de récolter des données qui vous permettront de prendre une meilleure décision.
C’est grâce à cela vous irez au delà de vos croyances et de vos a priori et que vous sélectionnerez les bons critères à considérer.
Sélectionnez les bons critères
Choisir les bons critères est absolument crucial pour faire les bons choix car c’est sur la base de ces critères que vous prendrez la bonne décision.
Donc au moment de choisir vos critères, assurez-vous de n’en oublier aucun et ne sélectionner que ceux qui ont le plus de sens pour vous.
Méfiez-vous de vos biais
Nous sommes tous biaisés lorsque nous faisons nos choix.
Un bon moyen de limiter, voire de complètement supprimer ces biais, est de les reconnaître pour mieux s’en détacher.
Donc voici les 4 biais principaux auxquels nous sommes tous soumis lorsque nous prenons nos décisions.
1. Le biais de confirmation
Le biais de confirmation est un réflexe que nous avons tous et qui consiste à aller dans le sens de nos croyances.
C’est-à-dire que l’on sélectionne en priorité les informations qui viennent confirmer ce que nous pensons et nous ignorons celles qui nous contredisent.
Par exemple, si on hésite entre acheter une voiture neuve et en acheter une d’occasion et que l’on est convaincu qu’acheter une voiture d’occasion comporte un gros risque, on va chercher toutes les informations qui viennent confirmer cela.
On va repenser à cet ami qui a eu de gros soucis au moment d’acheter sa voiture d’occasion ou on va se rappeler du reportage TV que l’on a vu il y a quelques mois sur les risques d’acheter des voitures d’occasion.
Si on s’arrête là, on choisira naturellement d’acheter une voiture neuve parce que la seconde option nous semblera être une mauvaise idée.
Seulement, si on veut prendre une décision plus objective, il faut aller au-delà de nos biais et chercher des informations qui contredisent nos croyances.
Est-ce qu’acheter une voiture d’occasion est une si mauvaise idée que cela?
Est-ce qu’il n’y a pas des moyens de s’assurer que la voiture que l’on achète est en bon état et en règle?
En faisant quelques recherches, on constaterait par exemple qu’il existe aujourd’hui des sites Internet grâce auxquels on peut acheter des voitures d’occasion en ayant plus confiance.
Chaque voiture est en effet contrôlée par des experts avant d’être listée.
Cela veut donc dire que l’on peut acheter ces véhicules sans craindre que la voiture ne nous lâche au bout de quelques jours…
Je ne suis pas en train de vous expliquer pourquoi vous devriez acheter une voiture d’occasion, ce que j’essaie de dire, c’est que l’on a toujours des idées préconçues au moment de prendre nos décisions et qu’il faut aller au-delà de ces idées pour faire de meilleurs choix.
2. Le biais d’ancrage mental
Le biais d’ancrage mental consiste à se laisser influencer par les premières informations dont on dispose ou les premières impressions que l’on a d’un événement, d’un prix, d’une personne, etc.
C’est souvent ce qui nous empêche de considérer d’autres éléments importants au moment de prendre nos décisions.
Admettons que vous vouliez démarrer une entreprise.
Vous hésitez entre:
- Continuer à travailler pour votre employeur actuel;
- Démissionner pour commencer votre propre entreprise.
Pour faire votre choix, vous allez considérer chaque option.
Vous allez étudier en profondeur l’option de continuer votre travail et celle de démissionner.
Sans vous en rendre compte, vous êtes en fait en train de vous laisser influencer par le biais d’ancrage mental.
Vous vous limitez à 2 options parce que ce sont celles auxquelles vous avez pensé en premier.
Et s’il n’y avait pas que 2 options?
Et s’il y en avait de multiples possibilités auxquelles vous n’aviez pas encore pensé?
Vous pourriez très bien commencer votre entreprise tout en continuant à travailler pour votre employeur actuel, par exemple.
Ce serait un bon moyen de tester votre idée sans prendre de risque.
Quand on est sous l’effet du biais d’ancrage mental, on ne considère pas toutes les options possibles.
On reste obsédé par les choix que l’on a déterminés en amont.
C’est dommage car cela peut potentiellement nous faire passer à côté de bien meilleures options.
Donc, au moment de prendre votre décision, demandez-vous toujours si vous avez bien considéré toutes les alternatives et s’il n’y a pas d’autres choix possibles.
3. L’effet de halo
L’effet de halo est un biais psychologique qui affecte notre perception.
Il est semblable au biais de confirmation dans le sens où il consiste à aller chercher inconsciemment toutes les informations qui viennent confirmer notre première impression, qu’elle soit positive ou négative.
Imaginez que vous cherchiez à recruter quelqu’un pour renforcer votre équipe et qu’un ami vous recommande chaudement une personne en vous expliquant pourquoi elle est qualifiée pour le poste.
Au moment de la recevoir pour un entretien, vous serez obligatoirement influencé(e) par toutes les choses positives que vous avez entendues sur cette personne.
Et vous allez inconsciemment chercher toutes les informations qui viendront confirmer ce que vous entendu d’elle.
C’est dangereux parce que cela peut vous faire passer à côté d’informations importantes.
Essayez donc autant que possible de garder une distance avec ce que vous avez déjà entendu pour rester le plus impartial possible.
Vous prendrez une bien meilleure décision.
4. Le biais de disponibilité
Le biais de disponibilité est cette tendance que l’on a à privilégier les informations qui sont immédiatement disponibles dans notre mémoire.
Autrement dit, cela consiste à ne pas aller chercher d’autres informations qui pourraient enrichir notre réflexion et nous permettre de faire des choix plus objectifs.
Pour reprendre l’exemple de la voiture d’occasion, si vous en avez acheté une par le passé et que celle-ci vous a causé de nombreux problèmes, il y a de forte chance que vous privilégiez l’achat d’une voiture neuve dans le futur parce que vous garderez en mémoire votre mauvaise expérience.
Seulement, ce n’est pas parce que quelque chose à mal fonctionné par le passé que cela se reproduira nécessairement dans le futur.
Peut être que si vous vous y prenez différemment, vous pourrez trouver une voiture d’occasion en très bon état à un prix abordable.
Ne vous fiez donc pas seulement aux informations qui sont immédiatement disponible dans votre mémoire.
Bien sûr, elles sont utiles et elles peuvent être pertinentes, mais vous ferez un bien meilleur choix en allant au-delà des informations immédiatement disponibles lorsque vous y pensez.
Quelques mots pour conclure
Pour conclure, la matrice de décision est un excellent outil pour faire des choix difficiles.
Elle permet de considérer tous les critères qui sont importants pour nous au moment de prendre notre décision.
Mais l’efficacité de cette matrice dépend complètement des informations que vous y ajouter.
Faites donc bien attention à renseigner tous vos choix et à indiquer les critères qui sont les plus importants pour vous.
N’oubliez pas non plus de chercher les informations utiles pour sortir de vos a priori et méfiez-vous de vos biais psychologiques.
En appliquant ces conseils vous aurez plus de facilité à surmonter les choix qui sont difficiles à prendre.
À propos de Simon Cavé, l'auteur de cet article
Simon Cavé est le fondateur d’Everlaab, un blog minimaliste dédié à tous les passionnés de productivité et de performance mentale. Il interview régulièrement des personnalités (millionnaires, astronaute, agent de la CIA, etc.)
Références
1. Dr Joel Hoomans, «35,000 Decisions: The Great Choices of Strategic Leaders», dans Leading Edge Journal, 2015:.
2. Barry Schwartz, Le Paradoxe du Choix, 2009, Marabout, 252 p.
Majorie a écrit
Bonjour, merci pour votre site. Belle référence pour mon travail.
Maryse a écrit
Bonjour,
J’ai apprécié car je suis en pleine analyse de décision importante dans ma vie personnelle et le fait de rendre les options “terre à terre” va m’aider à mieux analyser.
Merci!